Description
Cette suite de quatorze poèmes est à lire naturellement, mais aussi à voir : ces mots « en liberté » forment une trame visuelle au parcours de l’oiseau que Stéphane Crémer installe au centre de ses poèmes, la composition typographique en orchestre le rythme. La préface d’Yves Bonnefoy le rappelle : « Il semble bien qu’il y ait entre les oiseaux et les mots une analogie fondamentale, qui se révèle quand un poète laisse sa parole tout à fait libre de signifier ses désirs. »