présent (im)parfait
« Présent (im)parfait » défend des textes difficilement repérables. On pourrait les appeler « poésie », si ce terme n’induisait la lourde histoire d’un genre. On pourrait les nommer « récits poétiques » pour en dire la trame de l’écriture. Ou encore les appeler « récits expérimentaux », si ce n’était pas si hasardeux. Des textes, donc, qui ont une langue, et une langue qui a du corps. Une langue incarnée, charnelle, qui flaire et goûte, hurle ou caresse. Une langue qui maintient des histoires comme des récits impossibles à faire et s’essaye ainsi à nommer un présent incongru et parcellaire. Une langue prenant le passé comme un avenir chaotique à engendrer. Une langue qui emprunte les doutes, les hésitations, les exils de nos souvenirs, qui bataille une présence au monde, présence (im)parfaite, unique…
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Déplier les silences
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