présent (im)parfait
« Présent (im)parfait » défend des textes difficilement repérables. On pourrait les appeler « poésie », si ce terme n’induisait la lourde histoire d’un genre. On pourrait les nommer « récits poétiques » pour en dire la trame de l’écriture. Ou encore les appeler « récits expérimentaux », si ce n’était pas si hasardeux. Des textes, donc, qui ont une langue, et une langue qui a du corps. Une langue incarnée, charnelle, qui flaire et goûte, hurle ou caresse. Une langue qui maintient des histoires comme des récits impossibles à faire et s’essaye ainsi à nommer un présent incongru et parcellaire. Une langue prenant le passé comme un avenir chaotique à engendrer. Une langue qui emprunte les doutes, les hésitations, les exils de nos souvenirs, qui bataille une présence au monde, présence (im)parfaite, unique…
1–12 sur 53 resultats
-
Proëlla
€ 13,00 -
Fragments du discontinu
€ 13,00 -
Ruine balance
€ 17,00 -
Une même lunaison
€ 14,00 -
Des disparitions avec vent et lampe
€ 15,00 -
Les carnets du chorégraphe
€ 13,00 -
& Leçons & Coutures II
€ 16,00 -
Parole, personne
€ 17,00 -
Et qui hante
€ 16,00 -
Ajours
€ 13,00 -
Éparpillements
€ 18,00 -
Sommes nous
€ 13,00
1–12 sur 53 resultats