Description
Un toponyme, La Tuilière, un orage, le fracas de l’éclair, de la pluie, « Remuement partout perpétré par l’eau… Règne de la confusion. » Métaphore d’un état intérieur ? Trois blocs de prose où cependant « le désastre [est…] tendu vers l’accalmie et le détachement » car s’y tient l’arbre, « patient », indifférent, « qui avait pris forme du temps »… En vis-à-vis de ces blocs/colonnes de texte, les bornant, les troncs d’arbres de Stéphane Korvin, droits, d’une présence intense dans le charbon de la page. Mais aussi, grâce au « pliage Freinet », dans l’ouverture du livre, une « forêt intérieure », ou une clairière…, où la lumière semble prête à revenir.