Description
Le texte de Sarah Clément, comme l’écrit Sophia Mejdoub dans Le Cri de l’hélikon (décembre 2003), est « un texte-souffle composé dans des carrés parfaits, sans capitales ni ponctuation, qui s’ouvre sur un reflet du ciel et se referme dans un cri de silence, ou l’impossibilité de se taire ».
Les deux photographies de Jean Yves Cousseau sont un contrepoint énigmatique à ce texte, par leur titre, Autoportraits, par leur couleur sourde.