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Fleur Cormier

Fleur Cormier est née à Nantes en 1973. Docteure en sciences, elle vit et travaille en Touraine. Un premier texte de prose poétique, « J’ai trouvé ça assez long, le chemin du retour », a été publié dans l’anthologie de la revue Triages en 2018. Elle a égale­ment publié poésie et prose poétique dans les revues Terre à ciel, La Terrasse, Revue Méninge et Traction-​Brabant depuis 2015.

Collection « singuliers pluriel »

Aïeule sauvage, 2022

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Roland Cornthwaite

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Roland Corn­th­waite, né en 1954 à Annecy, vit près de Nantes depuis 1980 où il a fait partie de l’équipe de la Maison de la Poésie et rédigé régu­liè­re­ment des présen­ta­tions d’auteurs dans la revue Gare Mari­time. Il publie textes et poèmes sur Inter­net (Terre à ciel, remue​.net) ou dans les revues Traction-​Brabant et Verso et les lit régu­liè­re­ment dans des lectures publiques. Hymen-​Amen, un long poème écrit spécia­le­ment pour le projet Hymen redé­fi­ni­tions, consul­table sur Inter­net, a été diffusé sur les réseaux sociaux entre novembre 2019 et janvier 2020. »

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Nathalie de Courson

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Née en 1951, Natha­lie de Cour­son a passé son enfance et son adoles­cence à Madrid. Elle a publié Natha­lie Sarraute. La peau de maman (L’Harmattan, 2011) et Éclats d’école (Le Lavoir Saint-​Martin, 2014), ainsi que des articles dans diffé­rentes revues. À bout est son premier livre de fiction publié.

Collection « singuliers pluriel »

À bout , 2019

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Éric Courtet

Éric Cour­tet, né en 1968, vit à Lorient. Il est venu à la photo­gra­phie par le biais du théâtre et de la litté­ra­ture sur les scènes de la région pari­sienne, et plus parti­cu­liè­re­ment au théâtre de la Commune d’Aubervilliers, dirigé alors par Didier Bezace. Sa photo­gra­phie puise toujours son inspi­ra­tion dans les œuvres d’auteurs qui inter­rogent les affaires d’âmes, comme Ingmar Berg­man, Pier Paolo Paso­lini ou Andreï Tarkovski. Sa dernière série, en cours, explore la déser­ti­fi­ca­tion en Centre Bretagne. Pour la série Apparent(é)s ici reprise, il a reçu en 2022 le 1er prix des Rencontres photo­gra­phiques d’Arlon (Belgique). »

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Jean Yves Cousseau

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Jean Yves Cous­seau vit et travaille en région pari­sienne. Il est engagé depuis de nombreuses années dans une démarche artis­tique liée à la photo­gra­phie et expé­ri­mente, au fil des expo­si­tions, des publi­ca­tions et des commandes, d’autres supports et modes d’expression tels que la vidéo, l’installation et l’oxydation. Il a exposé à de nombreuses reprises, tant en France qu’à l’étranger (Foto­gra­fie Forum, Franc­fort ; gale­rie Pennings, Eind­ho­ven ; fonda­tion Pierre-​Gianadda, Marti­gny ; musée de l’Orangerie, Paris ; Musée fran­çais de la photo­gra­phie, Bièvres ; fonda­tion de Couber­tin, Saint-​Rémy-​lès-​Chevreuse, Musée/​muséum dépar­te­men­tal de Gap…, pour ne citer que quelques lieux). Il a égale­ment publié plusieurs livres, dont Lieux d’écrits (éditions Royau­mont, 1987) ou Manière noire (éditions Fage, 2006), et plusieurs cata­logues ont été consa­crés à son travail, dont Quan­ti­tés discrètes (Musée/​muséum de Gap/​éditions Fage, 2007). Dernière expo­si­tion en date : Maison euro­péenne de la Photo­gra­phie, 8 février‑9 avril 2017. »

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Caroline Cranskens

Caro­line Crans­kens, née en 1979, est l’autrice des recueils poétiques Devant la machine et Gypsy blues (Les Venter­niers, 2013 et 2014), Le Trou derrière la tête (À Verse, 2017) et Fond d’œil (Les Étaques, 2021). Égale­ment vidéaste, elle a réalisé avec Élodie Claeys les films Eder­lezi, le retour du prin­temps, paru en 2016 aux éditions Les Venter­niers et Arabat, inséré dans le livre éponyme paru aux éditions isabelle sauvage en 2019. À l’automne 2024 sortira leur troi­sième film, saudade samouraï.e. »

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Stéphane Crémer

Crémer

Stéphane Crémer, né en 1954 en région pari­sienne, vit dans le Morbi­han depuis 2012. Il a publié aux éditions isabelle sauvage Prolé­go­mènes à toute poésie (2008) ainsi qu’un recueil de poésie, Le banc, en 2009 (qui reprend notam­ment Compa­gnies, une première suite de poèmes compo­sée au plomb mobile et publiée à tirage limité – épuisé – en 2003, avec une préface d’Yves Bonne­foy), puis Compost / Composto (douze poèmes bilingues fran­çais / portu­gais du Brésil, 2013). Un récit, Comme un charme, est paru aux éditions Denoël en 2006. Il a publié en 2014, avec Gilles A. Tiber­ghien, Des appa­rences bien suivies aux éditions Art3.
Stéphane Crémer a été accueilli en rési­dence par la Maison de la poésie de Rennes au prin­temps 2014, où il a mis la dernière main à Tombeaux & taxi­der­mies (trente sonnets et vingt-​six gouaches), paru en juin 2015 aux éditions Art3 et sélec­tionné par l’Académie fran­çaise pour son prix « Henri Mondor » 2016. »