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Nathalie de Courson

Née en 1951, Natha­lie de Cour­son a passé son enfance et son adoles­cence à Madrid. Elle a publié Natha­lie Sarraute. La peau de maman (L’Harmattan, 2011) et Éclats d’école (Le Lavoir Saint-​Martin, 2014), ainsi que des articles dans diffé­rentes revues. À bout est son premier livre de fiction publié.

Collection « singuliers pluriel »

À bout , 2019

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Éric Courtet

Éric Cour­tet, né en 1968, vit à Lorient. Il est venu à la photo­gra­phie par le biais du théâtre et de la litté­ra­ture sur les scènes de la région pari­sienne, et plus parti­cu­liè­re­ment au théâtre de la Commune d’Aubervilliers, dirigé alors par Didier Bezace. Sa photo­gra­phie puise toujours son inspi­ra­tion dans les œuvres d’auteurs qui inter­rogent les affaires d’âmes, comme Ingmar Berg­man, Pier Paolo Paso­lini ou Andreï Tarkovski. Sa dernière série, en cours, explore la déser­ti­fi­ca­tion en Centre Bretagne. Pour la série Apparent(é)s ici reprise, il a reçu en 2022 le 1er prix des Rencontres photo­gra­phiques d’Arlon (Belgique). »

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Jean Yves Cousseau

Jean Yves Cous­seau vit et travaille en région pari­sienne. Il est engagé depuis de nombreuses années dans une démarche artis­tique liée à la photo­gra­phie et expé­ri­mente, au fil des expo­si­tions, des publi­ca­tions et des commandes, d’autres supports et modes d’expression tels que la vidéo, l’installation et l’oxydation. Il a exposé à de nombreuses reprises, tant en France qu’à l’étranger (Foto­gra­fie Forum, Franc­fort ; gale­rie Pennings, Eind­ho­ven ; fonda­tion Pierre-​Gianadda, Marti­gny ; musée de l’Orangerie, Paris ; Musée fran­çais de la photo­gra­phie, Bièvres ; fonda­tion de Couber­tin, Saint-​Rémy-​lès-​Chevreuse, Musée/​muséum dépar­te­men­tal de Gap…, pour ne citer que quelques lieux). Il a égale­ment publié plusieurs livres, dont Lieux d’écrits (éditions Royau­mont, 1987) ou Manière noire (éditions Fage, 2006), et plusieurs cata­logues ont été consa­crés à son travail, dont Quan­ti­tés discrètes (Musée/​muséum de Gap/​éditions Fage, 2007). Dernière expo­si­tion en date : Maison euro­péenne de la Photo­gra­phie, 8 février‑9 avril 2017. »

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Caroline Cranskens

Vidéaste née en 1979, Caro­line Crans­kens est égale­ment l’auteure de deux recueils poétiques parus aux éditions Les Venter­niers, Devant la machine en 2013 et Gypsy blues en 2014, et du recueil Le Trou derrière la tête aux éditions À Verse en 2017. Elle a aussi publié dans les revues Arcane 18, Borbo­rygmes, À verse ou Verso.
Ensemble, Caro­line Crans­kens et Élodie Claeys ont signé le film Eder­lezi, le retour du prin­temps, paru en 2016 aux éditions Les Venter­niers, le film Arabat, produit par les éditions isabelle sauvage et fabri­qué sept numé­ros de la revue Fureur et mystère. »

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Stéphane Crémer

Stéphane Crémer, né en 1954 en région pari­sienne, vit dans le Morbi­han depuis 2012. Il a publié aux éditions isabelle sauvage Prolé­go­mènes à toute poésie (2008) ainsi qu’un recueil de poésie, Le banc, en 2009 (qui reprend notam­ment Compa­gnies, une première suite de poèmes compo­sée au plomb mobile et publiée à tirage limité – épuisé – en 2003, avec une préface d’Yves Bonne­foy), puis Compost / Composto (douze poèmes bilingues fran­çais / portu­gais du Brésil, 2013). Un récit, Comme un charme, est paru aux éditions Denoël en 2006. Il a publié en 2014, avec Gilles A. Tiber­ghien, Des appa­rences bien suivies aux éditions Art3.
Stéphane Crémer a été accueilli en rési­dence par la Maison de la poésie de Rennes au prin­temps 2014, où il a mis la dernière main à Tombeaux & taxi­der­mies (trente sonnets et vingt-​six gouaches), paru en juin 2015 aux éditions Art3 et sélec­tionné par l’Académie fran­çaise pour son prix « Henri Mondor » 2016. »

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Carole Darricarrère

Carole Darri­car­rère, née en 1959, a publié plusieurs recueils, tous oscil­lant entre le vers et la prose, depuis La Tenta­tion du bleu (Farrago, 1999), jusque Demain l’apparence occul­tera l’apparition (éditions isabelle sauvage, 2009) ou Mono­chro­mie de l’astreinte (en colla­bo­ra­tion avec Wanda Mihu­lac, éditions Tran­si­gnum, 2010). Son dernier livre, Beijing blues, a paru aux éditions du Petit Véhi­cule en 2018. Elle a égale­ment publié dans des revues comme Action poétique, La Poly­graphe, Java, Passage d’encres, Le Nouveau Recueil…
Sa volonté aujourd’hui est de multi­plier les croi­se­ments entre diffé­rents champs d’expérimentation, comme la créa­tion sonore (radio­pho­nique), la photo­gra­phie, ou la danse d’improvisation. »

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Ludovic Degroote

Ludo­vic Degroote, né en 1958 à Haze­brouck, vit près de Lille. Auteur d’une quin­zaine d’ouvrages, aux éditions Champ Vallon (Un petit viol, 2009, ou Mono­logue, 2012), Tara­buste (Pensées des morts, 2002) et surtout aux éditions Unes (La digue, 1995, rééd. 2018, Barque bleue, 1998, josé tomàs, 2014, zambèze, 2016, ou, dernier en date, Si décousu, 2019), il a réalisé de nombreux livres d’artistes et publie régu­liè­re­ment des chro­niques de poésie.

Livre d’artiste

Face monde, avec des gravures d’Agnès Dubart, 2020 »